La rose de sang.

Chapitre 1 : Une rencontre imprévu.

 En parcourant les décombres encore fumant de la ville, Vincent se senti comme très mal à l’aise. La ville avait des aires de ville fantôme, mais il restait très prudent. Au détour d’une rue  il entendit un cri venant d’un décombre à environ 25 mètres de lui. Sa progression s’annonçais difficile car tout risquais de s’écroulé si il avançait dans ces décombres. Il décida de risqué d’y aller car il entendait une patrouille américaine arrivé pas loin. Il avançait péniblement durant 20 minutes dans les décombre jusqu’à l’origine du crie selon lui. Ce qu’il découvrit le fit pâlir, une scène digne de la pire boucherie du monde. Il y avait des morceaux de cadavre de partout, comme si les soldats avaient pris une tronçonneuse et avait découpé tout le monde avant de faire exploser le bâtiment.

 Vincent se disait qu’il ne pourrait jamais trouver quelqu’un de vivant dans ce bâtiment, alors il se mit à fouillé les placards et les tiroirs. En arrivant dans une chambre il entendit une respiration venant d’un placard, il se précipita pour l’ouvrir et il vit une jeune femme, inconsciente, très peut vêtue, mais en vie. « Comment peut-on survivre à une telle explosion sans protections ? » se disait-il, « Peu importe maintenant, il faut que je la sorte de là ! ». En sortant de la chambre, il ne put s’empêché de remarquer le Glock qui été à ses pieds, il le prit et retiras le chargeur, il était plein, il vida le canon, remis la balle dans le chargeur et réarma l’arme.

 Vincent pris la fille sur son épaule le Glock en main et sorti des ruines de ce bâtiment, il eut la chance incroyable de ne tomber sur aucune patrouille  américaine jusqu’à la sortie du village en ruine. Il trouva dans la forêt une grotte pour s’abrité la nuit. Il savait que la fille aurait besoin d’un endroit où elle pourrait se réveillé calmement, il installa son sac de couchage dans le fond de la grotte et mis la fille dedans.

 La nuit fut rude pour Vincent, obliger de veillé sur cette fille et de la protéger des américains, et en même temps il ne pouvait pas non plus tirer où en égorgé un car sinon il aurait trahis sa position et celle de cette fille. Il se contentait donc juste de caché la fille et de se caché sous un tas de décombres. Mais au final, vers 4 heures du matin, tout devenais calme, comme si les soldats américains étaient parti.