Prologue.

C’était un jour de novembre, il y avait un temps nuageux et il commençait à pleuvoir sur le petit village de Vincent. Il regardait par la fenêtre de sa chambre. Il pouvait y voir tout son village et la montagne sur la quel il était installé. Un sentiment de mélancolie l’envahissait à chaque fois qu’il regardait ce paysage magnifique. Une musique se jouait dans sa tête quand il était dans cet état, Given and Denied des Poets Of The Fall. Soudain un bruit assourdissant retentis au loin, il ne savait pas ce qu’il se passait, mais il sentait que quelque chose n’allais pas.

Un « accident » c’était produit entre un camion et un scooter et ce n’était pas beau à voir. Le chauffeur du camion était troué comme une passoire, mort. Le conducteur du scooter était mort lui aussi, il n’y avait pas de témoins de ce qu’il c’était passé, mais Vincent savais que quelque chose n’allais pas, il partit pour laisser la place aux enquêteurs de la police et rentras chez lui. Vincent pris ce qu’il pouvait transporter dans un grand sac de randonné étanche de 50 litre. Il prit en priorité sa radio, de l’eau, de la nourriture, un Zippo avec de quoi l’alimenté durant long temps, son couteau, et il attendit ce qu’il passerait forcement, l’arrivé de l’armé. Il avait reconnu les impacts de balles sur le corps du chauffeur, pour lui ça ne faisais aucun doute, c’était des impacts de fusil d’assaut.

Ça faisait quelques semaines que sur le réseau radio qu’il écoutait, on parlait de forces armée américaines discrètes établissant leurs bases dans des petits villages isolé. Vincent savais que c’était eux car le signale radio se brouillais de plus en plus depuis 36 heures. Il devait partir, mais il ne savait pas exactement quand il partirait pour ne pas éveiller les soupçons des américains.

« Pourquoi les américains font ça ? » C’était la question que se posais Vincent durant une quinzaine de minute. « La France n’est pas un ennemie des états unis, ce n’est pas logique… » Puis une grande explosion retentis au centre du village et des coups de feu se faisais entendre vers le sud du village, il décidât de partir par la montagne au nord, il savait que les américains ne le suivrais pas jusqu’au sommet. Avant de partir il prit son arc et une dizaine de flèches pour pouvoir chassé. Il escalada la montagne sans trop de difficulté car il le faisait 3 fois par semaine et une fois de l’autre côté il plongea dans une forêt de sapin suffisamment dense pour que les hélicoptères ne voient pas au travers. Vincent as continué environ 12 heures vers le nord et as trouvé un tas de ruine devant lui.

La rose de sang.

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